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L'amour est un risque terrible car ce n'est pas seulement soi que l'on engage. On engage la personne aimée, on engage aussi ceux qui nous aiment sans qu'on les aime, et ceux qui l'aiment sans qu'elle les aime.
Les institutions culturelles doivent toutes s’interpréter comme des transformations du sacrifice, au terme d’une évolution qui les spécialise peu à peu dans les domaines d’activité les plus ceinturés de sacrifices, car les plus susceptibles d’engendrer des conflits, les funérailles, le mariage, l’initiation, la nourriture, l’éducation, le pouvoir politique, etc.
Le sujet humain est égocentrique, dans le sens où il s'autoaffirme en se mettant au centre de son monde. Mais, dans son "je", il inclut un "toi" et un "nous", et il est capable d'inclure son "je" dans un "toi" et un "nous".
Un enseignant satisfait de ce qu'il sait devrait être mis à la retraite.
Un esprit torturé, dont les ressorts sont brises, qui n'aspire plus qu'à échapper aux difficultés de la vie, qui a rejeté le monde extérieur parce que des disciplines et des conformismes l'ont abêti — un tel esprit, chercherait-il longtemps, ne trouverait jamais que l'image de sa propre déformation.
Je suis effrayé par les automatismes qu'il est possible de créer à son insu dans le système nerveux d'un enfant. Il lui faudra dans sa vie d'adulte une chance exceptionnelle pour s'évader de cette prison, s'il y parvient jamais.
Si le Christ était mort sur la chaise électrique, tous les petits chrétiens porteraient une petite chaise autour du cou.
L'amour est la seule chose du monde qui se double si on le partage.
Je me rends bien compte que je suis complètement nourri d’expériences et de convictions que d’autres n’ont pas partagées. Et c’est long et difficile pour moi de faire partager des convictions qui me semblent naturelles. C’est un défi de tous les jours.
En un sens donc, il n'a jamais été plus facile de faire rire qu'aujourd'hui. Toutefois, les enjeux sont si élevés et les risques si grands que notre rire ne peut plus être aussi franc et assuré que par le passé. Jamais la nature précaire, instable et "nerveuse" du rire n'a été aussi manifesté. Quand on considère le type de comique actuellement en vogue, il est permis de penser que notre époque ajoute - ou plutôt , révèle - une nouvelle dimension au mot fameux de Molière sur le rire et la création de la comédie : "C'est une étrange entreprise que de faire rire les honnêtes gens."
La beauté est relative, mais surtout elle dépend de l'organisation aussi bien innée qu'acquise de notre système nerveux central. Nous arrivons donc à cette notion, tout empirique d'ailleurs, que la beauté résulte de la cohérence du monde qui nous entoure avec la structure même du système nerveux humain.
Il n'y a pas de génie sans un grain de folie
Tout développement vraiment humain signifie développement conjoint des autonomies individuelles, des participations communautaires et du sentiment d'appartenance à l'espèce humaine.
Ainsi, une pulsion pousse les êtres vivants à maintenir leur équilibre biologique, leur structure vivante, à se maintenir en vie. Et cette pulsion va s’exprimer dans quatre comportements de base :
1) Un comportement de consommation. C’est le plus simple, le plus banal. Il assouvit un besoin fondamental : boire, manger, copuler.
2) Un comportement de fuite
3) Un comportement de lutte
4) Un comportement d’inhibition
Il résulte de tout cela que ce qui fonde l'effort, le vouloir, l'appétit, le désir, ce n'est pas qu'on ait jugé qu'une chose est bonne ; mais, au contraire, on juge qu'une chose est bonne par cela même qu'on y tend par l'effort, le vouloir, l'appétit le désir.
Certains […] tuent et acceptent de mourir pour que, dans l’immobilité mortelle, quelque chose arrive, se mette à vivre, à bouger, à questionner, à déranger.
Il n'est jamais trop tard pour devenir ce que nous aurions pu être.
C'est a travers les mots, entre les mots, qu'on voit et qu'on entend.
N'ouvre la bouche que lorsque tu es sûr que ce que tu vas dire est plus beau que le silence -- Proverbe Arabe
On résiste à l’invasion des armées, on ne résiste pas à l’invasion des idées.
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.
La haine, c'est la colère des faibles
Tout ce que nous connaissons du monde, ce n'est point notre environnement siégeant "autour" de notre organisme, mais seulement l'activité relationnelle que les neurones de notre système nerveux entretiennent entre eux.
Le mieux est l’ennemi du bien.
C’est l’erreur colossale de Nietzsche que de ne pas avoir vu ce qu’implique pour le rapport entre le mythique et le biblique la nature inconsciente du phénomène dit de bouc émissaire. Ce sont les religions sacrificielles qui incarnent l’esclavage sous toutes ses formes, tandis que le biblique et le chrétien conquièrent une vérité et une liberté dont les hommes peuvent faire un très mauvais usage, certes, mais qui les libère à jamais de l’emprise mythologique.
Je connais mes limites. C’est pourquoi je vais au-delà.
Pas de culture sans tombeau, pas de tombeau sans culture ; à la limite, le tombeau c’est le premier et le seul symbole culturel
La Vérité n'a pas de sentier, et c'est cela sa beauté : elle est vivante. Une chose morte peut avoir un sentier menant à elle, car elle est statique. Mais lorsque vous voyez que la vérité est vivante, mouvante, qu'elle n'a pas de lieu où se reposer, qu'aucun temple, aucune mosquée ou église, qu'aucune religion, qu'aucun maître ou philosophe, bref que rien ne peut vous y conduire . alors vous verrez aussi que cette chose vivante est ce que vous êtes en toute réalité : elle est votre colère, votre brutalité, votre violence, votre désespoir. Elle est l'agonie et la douleur que vous vivez. La vérité est en la compréhension de tout cela, vous ne pouvez le comprendre qu'en sachant le voir dans votre vie. Il est impossible de le voir à travers uneidéologie, à travers un écran de mots, à travers l'espoir et la peur.
Le sacrifice empêche les germes de la violence de se développer. Il aide les hommes à tenir la vengeance en respect. [...] L'hypothèse avancée plus haut se confirme : c'est dans les sociétés dépourvues de système judiciaire et, de ce fait, menacées par la vengeance que le sacrifice et le rite en général doivent jouer un rôle essentiel.
Avec la civilisation, on passe du problème de l'homme des cavernes au problème des carvernes de l'homme.
La conscience n'est pas la lumière qui éclaire l'esprit et le monde, mais c'est la lueur ou le flash qui éclaire la brèche, l'incertitude, l'horizon.
Depuis que je suis fatigué de chercher / J'ai appris à trouver.
L'humanité est à un croisement: un chemin mène au désespoir, l'autre à l'extinction totale. Espérons que nous aurons la sagesse de savoir choisir.
La vie n'a pas d'autre sens qu'elle-même.
Dans cette nuit, l'amour est mon mythe, mon credo, mon pari.
La laideur est supérieure à la beauté en ceci qu’elle dure.
De toute façon, au milieu des remaniements bouleversants qui s’amorcent au sein de notre société moderne, je suis persuadé que l’histoire d’un homme et sa finalité n’ont aucun intérêt. Il n’était peut-être pas inutile, quand il s’agit de quelqu’un qui essaie de se présenter aux autres sous le couvert d’un prétendu rigorisme scientifique, que ceux qui l’écoutent ou le lisent et risquent d’être influencés par lui, sachent que derrière tout scientifique ou soi-disant tel, se trouve un homme engagé dans la vie quotidienne.
On ne peut désirer ce qu'on ne connaît pas.
La Bible et les Evangiles attribuent les responsabilités [des violences collectives semblables à celles qui engendrent des sacrifices] à leurs auteurs véritables, les persécuteurs de la victime unique. Au lieu d’élaborer des mythes, par conséquent, la Bible et les Evangiles disent la vérité.
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Chaque homme est coupable de tout le bien qu'il n'a pas fait.
Castoriadis a dit: «L'homme est cet animal fou dont la folie a inventé la raison.»
Les compte rendus mythiques représentent les victimes de la violence collective comme coupables. Ils sont tout simplement faux, illusoires, mensongers. Les compte rendus bibliques et évangéliques représentent ces mêmes victimes comme innocentes. Ils sont essentiellement exacts, fiables, véridiques.
Plus absurde est la vie, moins supportable la mort.
Il y a des amitiés qui sont faites de bonnes vibrations et qui ont peu besoin de paroles.
Nous demandons seulement un peu d’ordre pour nous protéger du chaos. Rien n’est plus douloureux, plus angoissant qu’une pensée qui s’échappe à elle-même, des idées qui fuient, qui disparaissent à peine ébauchées,… Nous perdons sans cesse nos idées. C’est pourquoi nous voulons tant nous accrocher à des opinions arrêtées… Mais l’art, la science, la philosophie exigent davantage : ils tirent des plans sur le chaos. Ces trois disciplines ne sont pas comme les religions qui invoquent des dynasties de dieux, ou l’épiphanie d’un seul dieu pour peindre sur l’ombrelle un firmament d’où dériveraient nos opinions. La philosophie, la science et l’art veulent que nous déchirions le firmament et que nous plongions dans le chaos. Nous ne le vaincrons qu’à ce prix.
Accepter que la vie ne soit pas justifiée, c'est accepter vraiment la vie.
La seule raison d’être d’un être, c’est d’être. C’est-à-dire, de maintenir sa structure. C’est de se maintenir en vie. Sans cela, il n’y aurait pas d'être.
Toute réflexion sur l'avenir nous apporte, plutôt que des certitudes en réponse à nos incertitudes d'avenir, des incertitudes en réponse à nos certitudes présentes.
Celui qui peut, le fait. Celui qui ne peut pas, l'enseigne.
Pas plus chez les premières sociétés néolithiques que chez l'individu n'existe un instinct inné de propriété et de défense du territoire, mais l'apprentissage de la gratification, de la protection de l'équilibre biologique, du plaisir. (...) Notion de propriété et en conséquence recherche de la dominance et agressivité ne paraissent pas dépendre d'une caractéristique innée du système nerveux humain, mais bien au contraire d'un apprentissage conditionné autour du 45e parallèle par la niche ethnologique où certaines ethnies se sont développées.
L'amour est peut-être notre plus vraie religion et en même temps notre plus vraie maladie mentale.
C'est à partir du jour où l'on peut concevoir un autre état de choses qu'une lumière neuve tombe sur nos peines et sur nos souffrances et que nous décidons qu'elles sont insupportables.
La foule précède l'individu. Ne devient vraiment individu que celui qui, se détachant de la foule, échappe à l'unanimité violente. Tous ne sont pas capables d'autant d'initiative. Ceux qui en sont capables se détachent les premiers et, ce faisant, empêchent la lapidation.
Cette imitation comporte une dimension authentiquement individuelle. La preuve, c'est le temps plus ou moins long qu'il requiert suivant les individus. La naissance de l'individu est naissance des temps individuels. Aussi longtemps qu'ils forment une foule,ces hommes se présentent tous ensembles et ils parlent tous ensemble pour dire exactement la même chose. La parole de Jésus dissout la foule. Les hommes s'en vont un à un, suivant la différence des temps qu'il faut à chacun pour entendre la Révélation.
Comme la plupart des hommes passent leur vie à imiter, ils ne savent pas qu'ils imitent. Même les plus capables d'initiative n'en prennent presque jamais. Pour savoir de quoi un individu est capable, il faut une situation exceptionnelle, telle cette lapidation manquée.
Quand il ne peut plus lutter contre le vent et la mer pour poursuivre sa route, il y a deux allures que peut encore prendre un voilier : la cape (le foc bordé à contre et la barre dessous) le soumet à la dérive du vent et de la mer, et la fuite devant la tempête en épaulant la lame sur l’arrière avec un minimum de toile. La fuite reste souvent, loin des côtes, la seule façon de sauver le bateau et son équipage. Elle permet aussi de découvrir des rivages inconnus qui surgiront à l’horizon des calmes retrouvés. Rivages inconnus qu’ignoreront toujours ceux qui ont la chance apparente de pouvoir suivre la route des cargos et des tankers, la route sans imprévu imposée par les compagnies de transport maritime.
Vous connaissez sans doute un voilier nommé « Désir ».
Le philosophe se reconnaît à ce qu'il a inséparablement le goût de l'évidence et le sens de l'ambiguïté.
L'existence précède l'essence.
Nous avons récemment pu montrer […] que le système inhibiteur de l’action, permettant ce qu’il est convenu d’appeler l’évitement passif, est à l’origine de la réaction endocrinienne de « stress » […] et de la réaction sympathique vaso-constrictrice d’attente de l’action. La réaction adrénalinique qui vasodilate au contraire la circulation musculaire, pulmonaire, cardiaque et cérébrale, est la réaction de fuite ou de lutte ; c’est la réaction d’ « alarme », elle permet la réalisation de l’action. Il résulte de ce schéma que tout ce qui s’oppose à une action gratifiante, celle qui assouvit le besoin inné ou acquis, mettra en jeu une réaction endocrino-sympathique, préjudiciable, si elle dure, au fonctionnement des organes périphériques. Elle donne naissance au sentiment d’angoisse et se trouve à l’origine des affections dites « psychosomatiques ».
Je n'ai cessé d'osciller entre la négation nihiliste et l'enthousiasme humaniste, de chercher du sens et de douter du sens. J'ai été sensible à la pitié et non à la piété.
Contrairement à la croyance reçue, il y a moins de désordre dans la nature que dans l'humanité.
Le seul moyen d'affronter un monde sans liberté est de devenir si absolument libre qu'on fasse de sa propre existence un acte de révolte.
Si le primitif paraît se détourner du coupable avec une obstination qui passe à nos yeux pour de la stupidité ou de la perversité, c’est parce qu’il redoute de nourrir la vengeance.
Heinrich disait « il a suffit que deux hommes se haïssent pour que la haine, de proche en proche, gagne tout l'univers. » Et moi, je dis, en vérité il suffit qu'un homme aime tous les hommes d'un amour sans partage pour que cet amour s'étende de proche en proche à toute l'humanité.
Quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt.
J'ai pris les femmes pour ce qu'elles n'étaient pas, je les laisse pour ce qu'elles sont
De l'homme à l'homme vrai,le chemin passe par l'homme fou.
Pour être tout à fait homme, il faut être un peu plus et un peu moins qu'homme.
Il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu'il soit instruit; il n'est pas digne de l'être.
Il n'est pas aisé de détruire un idole : cela requiert autant de temps qu'il en faut pour la promouvoir et l'adorer. Car il ne suffit pas d'anéantir son symbole matériel, ce qui est simple ; mais ses racines dans l’âme.
Les idées simples ne peuvent agir que de façon très brutale.
Je ne serai pas modeste. Humble tant qu'on voudra, mais pas modeste. La modestie est la vertu des tièdes.
Je crois personnellement qu’il faut soumettre ou se soumettre.
Aucun flocon de neige, ne se sent responsable d'une avalanche.
Si nous savons comprendre avant de condamner, nous serons sur la voie de l'humanisation des relations humaines.
La valeur d'une idée n'a absolument rien à voir avec la sincérité de l'homme qui l'exprime.
Rien ne s'obtient sans computation, même la plus extraordinaire des intuitions.
Un film ne se pense pas, il se perçoit.
Finalement, on peut se demander si le problème du bonheur n’est pas un faux problème. L’absence de souffrance ne suffit pas à l’assurer. D’autre part, la découverte du désir ne conduit au bonheur que si ce désir est réalisé. Mais lorsqu’il l’est, le désir disparaît et le bonheur avec lui. Il ne reste donc qu’une perpétuelle construction imaginaire capable d’allumer le désir et le bonheur consiste peut-être à savoir s’en contenter. Or, nos sociétés modernes ont supprimé l’imaginaire, s’il ne s’exerce pas au profit de l’innovation technique.
Le but d'un écrivain est d'empêcher la civilisation de se détruire.
La meilleure façon de prédire l'avenir, c'est de le créer.
… la crise d'une pensée politique aveugle qui, soumise à un crétinisme économiste qui dégrade tous les problèmes politiques en questions de marchés, est incapable de formuler aucun grand dessein.
L'histoire n'est rien d'autre que le lien aléatoire, complémentaire, concurrent et antagoniste, entre désordre et procès de complexification.
Lorsque Rimbaud dit:«Je finis par trouver sacré le désordre de mon esprit», il montre qu'il a compris qu'il y a dans le désordre quelque chose sans lequel la vie ne serait que platitude mécanique.
Le Créateur a raté ce monde-ci, pourquoi aurait-il réussi l'autre?
Il est bon de noter combien la charge affective des mots : bien-être, joie, plaisir est différente. Le bien-être est acceptable, la joie est noble, le plaisir est suspect.
Comment espérer cacher à un dieu qui est censé lire à livre ouvert dans les consciences humaines une dissimulation aussi grossière que [le mécanisme victimaire du sacrifice] ? Peut-être ce qu’on attend de ce dieu c’est qu’il ferme les yeux, qu’il se fasse le complice passif de la manœuvre. L’attitude rituelle repose ici sur un mélange de crédulité naïve et de cynisme extrême dont nous ne voyons pas comment ils peuvent coexister.
Il est donc sensé de penser que c'est le langage qui a créé l'homme, et non l'homme le langage, mais à condition d'ajouter que l'hominien a créé le langage.
Personne n'est aussi vide que celui qui n'est rempli que de lui même.
Je cherche à comprendre.
Les besoins de l’homme moderne lui sont essentiellement suggérés par son environnement social. En apparence, chaque individu semble désirer posséder les signes, les objets et les comportements de la classe qui le domine et à laquelle il souhaite appartenir. C’est apparemment la tendance fréquente du matérialisme bourgeois. En réalité, nous verrons en traitant de la diffusion des informations que la société bourgeoise et nous entendons par là toute société dans laquelle la motivation fondamentale est le profit pour la domination, ne diffuse que les informations lui permettant de se maintenir. Or, Pour se maintenir, elle doit vendre, d’où le mythe de l’expansion continue. Pour vendre, elle doit produire exclusivement des objets qui s’achètent d’une part, et faire participer la masse des producteur à ces achats.

Il résulte de cet enchaînement impératif que pour survivre elle doit créer dans le système nerveux de tous les individus qui la constituent, quelle que soit la classe sociale à laquelle ils appartiennent, des automatismes basés sur des jugements de valeur qu’elle croit elle-même être des choix. Elle y parvient d’autant plus facilement aujourd’hui que la diffusion des informations est plus rapide et que les moyens de diffuser ces informations sont plus nombreux. La technologie a réalisé là sa plus belle performance. La publicité par l’affiche, la presse, la radio, la télévision n’a qu’une finalité : créer des automatismes. Bien plus, tout ce qui est vu ou entendu ne vise qu’à créer une conception générale de la vie humaine orientée vers la notion que le bonheur s’obtient en consommant.
Nous agissons toujours sous la pression de la nécessité, mais celle-ci sait bien se cacher. Elle se cache dans l'ombre de notre ignorance. Notre ignorance de l'inconscient qui nous guide, celle de nos pulsions et de notre apprentissage social.
L’appétit persécuteur se polarise volontiers sur les minorités religieuses, surtout en temps de crise.
La première moitié de notre vie est gâchée par nos parents, et la seconde par nos enfants.
Pousser la raison à ses limites aboutit au délire.
Le système de l'égalité m'a toujours paru l'orgueil d'un fou.
Mi rendo condo che sono completamente nutrito di esperienze e convinzioni che gli altri non hanno condiviso. Ed è difficile per me far capire agli altri convinzioni che mi sembrano naturali. È una sfida di tutti i giorni.
L'excès de sagesse devient fou, la sagesse n'évite la folie qu'en se mêlant à la folie de la poésie et de l'amour.
Que répondre à un homme qui vous dit qu'il aime mieux obéir à Dieu qu'aux hommes et qui, en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ?
La pensée, on l'oublie trop souvent, est un art, c'est-à-dire un jeu de précision et d'imprécision, de flou et de rigueur.
Le jour où l’humanité mourra, les dieux mourront.
SI j’avais suivi l’opinion des mes pères et de mes pairs je n’aurais rien fait de ce que j’ai fait.
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